Balro: labo de toutes les tortures ...

Galadan était a demi inconsciente elle était toujours suspendu au mur comme un vulgaire papillon. Les drogues qu on lui inoculaient, l empêchais de se défendre, Le scientifique approcha une seringue près de son cou elle gémit, elle avait horreur des seringues, Elle senti un douleur vive et ciblée puis le liquide épais commencer a s infiltrer dans sa carotide. Un bruit sourd se fit entendre sur sa droite. Elle gémit et tenta de se débattre mais en vain son organisme était épuisé et les liens trop serré

Ewen ouvrit une porte a la voler elle était la. Le scientifique se retourna brusquement, enlevant par la même occasion la seringue a demi vide du cou de Gal, Ewen ne réfléchit pas, il se jeta sur lui et sans même changer de forme, referma ses crocs sur la frêle trachée, I lui déchiqueta la gorge avec une énergie surhumaine,le scientifique arrêta bientôt de bougé, agité a intervalle régulier de soubresaut. Il haïssait ces pauvres fous qui pour des expériences détruisaient des hommes
Il ramassa la seringue et au moment ou il voulu l enfoncé dans son avant bras un faible voix gémi. Il savait que Galadan consumait ses dernières force pour lui parler

"non !! Non ne fais pas ça ..."

"Galou chut !! Je ne ..."

"non ça va modifier ton ADN peut être même te tuer"

"écoute moi... »

"ne fais pas sa.. S’il te plaie »

"Gal !! Je .. Je ne pourrais vivre sans toi, si se produit te tue, autant qu il me tue moi aussi, si il change ton ADN autant que la mienne le soit aussi, si nous devenons les pires créatures du monde, qu’importe tout se qui compte ces d être avec toi "

"ewen...non !!! ton sacrifice et inutile ..."

"je ne veux pas que nous soyons sépare par une seringue si tu ai une expérience je le deviendrai, si tu devenait une gorgone je le trouverait un moyen de le devenir, si j avais été humain, j aurais chercher a devenir lycan si ..."

"ewen ..."

"tu ne me fera pas changer d avis"

"je t aime"

Ewen les larmes au yeux enfonça l aiguille dans sa chair scellant son destin avec sa moitié par se cruelle mariage, Tout deux serait sûrement les deux seule représentant de leur espèce.

Lorsqu’il ouvrit la porte qui menait à la petite pièce dans laquelle se trouvaient les deux scientifiques, son regard se posa tout d’abord sur les deux hommes qui le fixait, silencieusement, l’air hébété, osant très peu l’ouvrir face au jeune homme armé, apparemment au bord de l’explosion. Mais, lorsque ce dernier entr’aperçu la jeune femme parmi les hommes en blouse blanche, de l’autre côté de la vitre, son silence se transforma en un intense grognement, sa rage se transforma en fureur irréversible.
Les deux hommes reculaient lentement, tremblant de parts en parts, tandis que Shin avançaient, plaçant son katana en offensive, le soulevant au fur et à mesure. Ces hommes avaient commis de nombreuses erreurs : ils n’avaient pas verrouillé la porte derrière eux, n’avait pas réagit lorsque Shin était entré dans la pièce et n’avait même pas tenté de s’enfuir. Mais, la pire des erreurs qu’ils aient pu commettre, la plus fatale, c’était de s’en être prit à celle qui était la raison de ses jours, à celle qu’il aimait au point d’en devenir fou, à celle qu’ils n’auraient jamais dû toucher et faire souffrir. Car le châtiment réservé à ces hommes allaient être bien pire que la mort, et Shin aurait pu l’en jurer de son sang : ces hommes allaient payer, lentement, douloureusement, au point qu’ils voudront mettre fin à leur jour pour abréger leurs souffrances.
Son regard était dément, ses yeux écarquillés, rougis par le sang, la pupille si minuscule qu’elle n’était presque plus visible.
En un fragment de seconde, les deux hommes tombèrent au sol, les tendons sectionnés, la gorge transpercée. Du sang avait giclé sur le visage pâle du jeune homme. Il se saisit d’une chaise métallique, piétinant les corps des hommes, à l’agonie, et la jeta violemment contre la fenêtre qui se fissura de parts en parts mais qui ne se brisa pas totalement.

« Ryuuku. »

Ryu était réapparu et à la vue de son maître, il comprit immédiatement ce qu’il se passait. Usant de sa monstrueuse force, le Shinigami fit exploser la vitre en éclats qui volèrent dans la pièce, se plantant parfois dans les corps des scientifiques autour de Ming qui tombaient alors au sol. En quelques coups de katana, Shin se débarrassa des hommes, dans un bain de sang, tandis que Ryu détachait Ming qui s’écroula dans ses bras, droguée, encore. Shinichi se dirigea rapidement vers elle, se laissant tomber à genoux, laissant tomber son katana rougeoyant.
Sa main effleura une a une les plaies sur le visage de Ming.

* Mon amour... *

Cette dernière se redressa en un sursaut, en hurlant, le visage couvert de larmes, se saisissant d’une des seringues qui avait été plantée plus tôt dans son crâne et poignarda rageusement le visage de celui qui se trouvait face à elle, avant de retomber au sol, évanouit.
Shin avait hurlé lorsque l’aiguille transperça son œil gauche et portant sa main à son œil comme pour stopper la douleur, il grogna : « Ryuuku. »

« Ca va, Maître ? »

« Emmène la. »

« Je vais la mettre en lieu sûr, mais, et toi ? »

« Va, je vous rejoindrai. »

Portant la frêle jeune femme dans ses bras, Ryu déploya ses grandes ailes noires et prenant apparemment une consistance que tout le monde pouvait voir, le shinigami fonça dans un mur, y creusant un immense cratère, et arriva alors à l’extérieur. Deux personnes étaient déjà là, un homme et une femme. Devant le regard méfiant et offensif de Lucas, Ryu dit calmement, en posant délicatement Ming au sol.

« Du calme, je ne suis pas un ennemi. »

Lucas ne sembla nullement surpris. A vrai dire, il devait savoir que Ryu était un allié, à la façon dont réagissait Trinity : elle ne semblait pas le suspecter.

« Où est Shin ? »

Ryu fixa longuement le bâtiment sans dire un mot.

A l’intérieur, Shin déchira un morceau de tissu qu’il fixa contre son œil crevé. La douleur était encore là, mais il ne pouvait pas partir comme ça, tout e suite. Et si Lucas ou Ewen ne s’en était pas sorti ? Il fallait qu’il revienne sur ses pas, maintenant que Ming était à l’abri. Il sorti de la pièce, après s’être saisit de son katana, près à en découdre avec les scientifiques.
Lorsque la porte se referma, une tonne de fichier tomba au sol, dont une feuille sur laquelle on pouvait lire :



...

Ewen faillit s’évanouir, le sérum agissait visiblement avec une incroyable rapidité et il dut serrer les dents pour s’empêcher de vomir. Des petits points noirs se mirent à danser furieusement devant ses yeux. Se prenant la tête entre ses mains il se laissa tomber a genoux.
Il avait l’impression que son sang avait été remplacé par du feu liquide. Chaque os, chaque muscle le faisait atrocement souffrir comme le jour de ça premier métamorphose. Il regarda Galadan entre ses doigts. Son visage était paisible comme si elle dormait, deux immenses ailes d’ange était déployées de par et d’autre de son corps frêle. En voyant cette vision irréel, Ewen ne put retenir ça peine et sa rage, Il se cambra et hurla de toute la force de ses poumons. Sa longue plainte se termina dans une série de sanglot. Il avait totalement oublié sa douleur physique. Il se releva, effondré. Il n’avait plus qu’une idée, plus qu’un espoir : offrir une sépulture décente a ça bien aimée.
Les liens qui la retenaient, avaient été conçus pour résister à l’assaut d’un lycan mais Ewen les rompit en déchaînant sa force brute. Il crut que ses os allaient se rompre et ses tendons se déchirer sous l’effort mais cela lui importait peu. Il recueillit le corps livide avec une infinie délicatesse et enfuit son visage dans le cou de son cœur jumeau. Ses cheveux blancs jadis si longs, lui effleuraient le nez dans une dernière caresse. Les ailes qu’il avait pris pour une illusion était bien réel, les plumes blanches et duveteuses, lui frôlait sa main. Il se recula légèrement pour admirer le vissage de celle qu’il avait aimé, des larmes roulèrent sur ses joues mal rasés, et serrant son cadavre dans une dernière étreinte, il lui déposa un baisé sur le front. Le corps s’agita, grommelant. Ewen écarquilla les yeux ne croyant pas à ce miracle. Y avait t’il une quelconque vérité dans les contes pour enfant. Galadan essaya de repousser Ewen (sans grand succès) toute en marmonnant.

« A putian ! Ewen tu piques ! »

Il ne put retenir un éclata de rire, et tenant fermement Galadan il tourbillonna sur lui-même. Cette dernière fut contaminée par son fou rire mais Ewen se prit les pieds dans une des chaînes tombées par terre. Inconsciemment, il déploya ses grandes ailes et rétablit son équilibre. Étonné il déposa Galadan sur le sol. Celle ci se contorsionna pour regarder dans son dos.

« C’est donc ça le projet " Lucifers Angels " ! »

Ewen a son tour regarda les deux étranges membres sortis au niveau de ses omoplates, a la différence de Galadan les siennes été celle d’un démon

« Wouahh, C’est dégueulasse ! Pourquoi moi j’ai les ailes d’anges ? »

Avec le dos de sa main, elle lui colla un petit coup dans le ventre. Dans l’ivresse de l’avoir retrouver il ne pu contenir ses ardeurs. Il lui attrapa le poignet et lui roula un magnifique patin. Galadan tout d’abord surprisse, se laissa envoûter et passa les bras autour de son cou. Ewen la caressait doucement. Il entendit un bruit de pas dans le couloir et s’interrompit brusquement près au combat. Mais Galadan lui attrapa le menton et le força a retourner la tête pour lui rendre la monnaie de sa pièce.

« Ah Gal’, Ewen ! Dieu soit louer vous allez bien ! »

Galadan se stoppa nette et rougit furieusement, Ewen eut dut mal a s’empêcher de rire la voyant dans cet état.

« Depuis quand tu jures toi ? »

Bien qu'elle n'était pas revenue à elle, Ming sentait une chaleur contre elle, qui l'envahissait, comme si l'amour l'englobait. Instantanément, elle se sentit mieux, mais la douleur était toujours présente. Elle se rappela avoir ouvert les yeux et s'être déécouverte sous un autre jour, dans une salle illuminée, entourée de scientifique. Elle se souvint des deux énormes et longues seringues qui étaient aller se loger dans son abdomen. Mais, que lui avaient-ils fais?
Elle s'était endormie à plusieurs reprises, et elle s'était comme sentit soulevée dans les airs, un corps glacial la tenait.
Mais maintenant, tout allait mieux, il faisait chaud, il faisait doux. Elle oubliait presque la douleur de son crâne partiellement rasé sur le côté.
Elle se souvenait s'être débattu, par un moment.
Mais elle n'arrivait pas à savoir si elle dormait, ou bien si la chaleur qui l'envahissait était celle de la lumière divine et qu'elle allait rejoindre le royaume des morts.
Soudain, elle sembla entendre des voix s'élever au-dessus d'elle. Des voix de plus en plus clair. Elle ouvrit légèrement les yeux: sa vision était floue. Elle n'était donc pas morte?

*Où suis-je? ... Qui suis-je?...Qui êtes-vous?... Que c'est il passé...? *

Soudain! Comme un flash! La vision de Shin face à elle, se tenant l'oeil gauche, lui fit écarquiller les yeux.
Elle se releva d'un coup, en hurlant presque, comme si elle avait été en apnée pendant plus d'une dizaine de minutes et qu'elle reprenait enfin sa respiration. La douleur de son crâne n'était plus qu'une formalité. Dans un geste de simple réflexe, elle se dégagea immédiatement de l'emprise de la châleur qui la retenue en lui murmurant:

"Du calme, c'est moi, ne t'en fais plus, tu n'as plus rien à craindre, c'est finit... Tout est finit..."

La prise pourtant frêle d'Aly suffit à retenir Ming, peut-être encore plus faible à ce moment. Ming se calma peu à peu, revoyant tout ce qui c'était passé dans sa tête, haletant, jusqu'à ce qu'elle revoit une nouvelle fois Shin. Elle tourna la tête en murmurant d'une voix faiblarde, presque muette:

"Shin... Où est... Shin?"

Elle tourna un peu la tête, visiblement encore ahurie par le calmant, fixant d'un air absent Aly:

"Où est... Shin?"

"Je n'en sais rien, Ming...."

"...je..."

La nouvelle vision de l'oeil ensanglanté lui revint en tête:

"SHIN!!!! SHIN!!! SHIN!!!!!"

"Arrêtes Ming, arrêtes, reste là, reste ici !"

Pleurant par habitude, Ming enfouit son visage dans le cou de son amie, son corps secoué de sanglots.

Ryuuku observait la scène, et bien qu'il soit une créature normalement sans coeur, il eut un élan de compassion pour les jeunes filles et, disparaissant de l'extérieur, il pénétra dans la grande bâtisse avec l'objectif d'en faire ressortir vivants le reste du groupe.

Il ouvrait chaque porte qu'il trouvait, il laissait agoniser chaque scientifique qu'il trouvait: c'était pourtant une maigre consolation, mais ça suffisait à calmer un peu sa rage.
Ming était maintenant en sécurité, mais elle ne serait probablement jamais plus la même, de même pour lui.
Le sang de son oeil dégoulinait sur sa joue, mais Shin l'ignorait. Son oeil crevé lui donner une migraine atroce au fur et a mesure qu'il avançait et il commençait à être un peu plus vacillant.
Mais nul n'était plus fort que sa rage. Il se sentait horriblement stupide. Il n'aurait jamais du la laisser seule, jamais une seule seconde. D'ailleurs, il l'avait juré le jour où elle était venue à son secour. Et il avait échoué. Il avait échoué dans le rôle d'équipier. Mais ne voulait surtout pas échouer au rôle d'amoureux.

Ming... Avant, ça aurait pu ne paraître qu'un béguin. Aujourd'hui, c'était clair: ça n'était pas une amitier démesurée, ni une simple attirance quelconque. C'était passion profonde, une correspondance entre deux coeurs. Plus jamais on ne poserait la main sur elle, plus jamais.

Son sabre était recouvert de sang, et des gouttes perlaient à grand flux sur le sol à mesure qu'il avançait.
C'était la dernière porte de ce couloir, il allait l'atteindre, quand un bruit attira son attention: il se retourna vivement, le sabre en position d'attaque. Même avec un oeil en moins, les réflexes de Shin n'étaient pas diminués. Seule sa vue l'était.

"Du calme, c'est moi"

Soulagé, il fut soulagé. Et dire qu'il aurait pu blesser mortellement un ami, sans s'en rendre compte immédiatement.

" Désolé, Lucas, je... J't'avais pas reconnu... "

"Shin ton oeil! Qu'est ce qui s'est passé?!"

Shin porta sa main à son oeil bandé et essuya d'un revers de main le sang qui dégoulinait. Il esquissa un sourire faible, triste et se voulant ironique:

" Oh ça, rien, j'ai juste jeté un oeil où il ne fallait pas.
"

Puis, son sourire s'effaça, et il demanda à Lucas, qui avait l'air déconcerté par l'humour de Shin dans un moment pareil:

" Angel, est ... ?"

" Sauvée. Elle est dehors, avec Ming et... "

" Galadan et Ewen? "

Lucas haussa les épaules d'un air affecté. Il fallait les retrouver. Soudain, des bruits de pas se firent entendre, et les deux hommes se précipitèrent dans la première salle qui vint.

Alors qu'ils refermaient la porte derrière eux, un bruit de succion se fit entendre. Shin se retourna et:

« Ah Gal’, Ewen ! Dieu soit louer vous allez bien ! »

Galadan sembla mal à l'aise, Ewen, lui, se mit à rire simplement.

« Depuis quand tu jures toi ? »

Shin se mit à sourire, soulagé que ces deux là soient en vie:

" Oh, j'peux me faire moine si ça peut vous garder tous en vie!"

" Lourd sacrifice, dis moi. "

" La voie est libre, on peut partir! "

Alors qu'ils ouvraient la porte, un grand type bleu tenant le cadavre d'un scientifique entre ses mains se dressait devant eux.

" J'ai pas eu le temps de lui poser de questions, il es mort d'un arrêt cardiaque. "

" Ryuuku, Ming!? "

" En sécurité avec son amie, chef. "

Shin soupira de soulagement. il fallait qu'ils sortent tous, maintenant. L'aide de Ryuuku serait d'ailleurs la binevenue.

Gaia desespere devant la situation legerement foireuse dans laquel tout le monde c'était coller décida d'intervenir.

"Helllo ma bande adoré de trou du cul . C'est un peu beacoup le bazar dans se labo non ? Des que j ai le dos tournée vous pouvez pas vous empecher de faire de connerie, nom de Dieu !. Vous mériteriez que je vous envoye tous en enfer, bande de limace invertebré"

"Sans vouloir vous vexer votre grandeur mais une limace c'est frocement invertébré "

"Je t'ai pas sonner le coleoptere albinos , bon poursuivons. Comme vous etes...."

* ... comment dire ca poliment .... dans les dejections ...non dans le caca ... non plus ... oh et puis fait chier j ai pas envie d etre polie ... *

"... dans la MERDE, il faut bien que je vous en sorte, quoique comme vous servez absolument a rien a part a faire empirer la situation je devrait vous y laisser Mais dans ma supreme clemence je vais vous donner ...."

"... acés a un portail tridimentionel"

"Non ca je sais pas faire "

"... une navette spaciale"

"Non plus, mais j'ai un truc trop classe, qui pourra vous aider dans tout les situations houleuses "

groupe > " "

"118 218, pour toute vos recherche maintenant vous avez plus qu'a trouver un portable pour savoir le numero du taxi le plus proche "

" Je peux la tuer ? "

Galadan fut soulager de voir les voitures arriver. Deux morceux de "taule seché" c'était quand meme plus rasurant et vachement plus pratique que le super


*...foireux*

... plan de Gaia. Mais il y avait un leger hic. D'un coté il n'y avait que huit place pour huit. putain ca viens de me peter mon groove pesimiste merde . Malgré se bref eclat de chance, l'état pitoyable de toute la bande, arreta quelque peu la soudaine bonté de Zoé, qui refusa de laisser entré qui que se soit hormis Angie.
Bon a 7 dans une voiture qui or des regle semperienne ne posede que de place et n a pas de coffre c est pas top. Galadan soupira desespere et attrapa Ewen par l'épaule,

"Tu sais voler ?"

"Bah non"

"Alors viens on va apprendre, a plus la meute on se retrouve dans le quartier generale, c est a dire mon labo"

Ewen qui avait remarqué la scéne plutot comique entre Zoé et Lucas s'arreta pour regarder.

*Non mais attention la c'est du duel a a box office, ca va etre encore plus puissant que Alien vs Predator *

Box office ..... mouaaaiiii, en tout cas ce combat épique ne sortira pas sur le grand ecran, Une minutes de film les gens risque de ronchoner. Quoique si on repasse pluisseur fois la scene puis qu'on fait un mega ralenti et un retour en arriere, plus une interpretation des paroles de Lucas

*....sa va ere dure il dit que de la merde *

Bah justement on essera de trouver une interpretation, qui face passer ses paroles pour un truc hyper rechercher. Et puis quand on regarde bien ses hyper profond se qu'il dit, doit y avoir des années de reflexion pour sortir un truc pareil

* *

Bon ok, j'avoue niveau spirituellité il y a mieux, Bref si on rajoute une intervieuw des deux acteurs, du cameraman, du realisateur, du sénariste on peut peu étre monter jusqu'a 35 min, puis après on pourrai aussi faire le making-off.

*Mouai mais sa ferra quand meme pas vendre le DVD tout ses bonus T_T*

Bah je sais pas faudrai peut etre rajouter un jeux interactif ....

* Oui trop bonne idée un truc a la yeti sport sauf qu'au lieu de pinguoin sa sera Lucas !! Le but du jeu sa sera de balancer Lucas le plus loin posible, Et on pourrai meme faire un variante avec des mines antipersonnel . On l'apellerai "Zoésport : revu et corigé par le Dr Wingifeld"

Trop bien j'adore faut trop qu on mette le projet a execution.

*Oui mais non *

pourquoi ???

*C'est de la merde *

A peine Shin fut-il à l'extérieur, il se dirigea immédiatement vers Ming. Elle s'était réveillée, malgré qu'elle soit terriblement faiblarde. Elle était assise, ses bras entourant ses jambes. Elle semblait fixer le vide, un néant avait gagné ses yeux, ses beaux yeux verts autrefois pétillants.
Il s'approcha doucement d'elle, effleurant d'un geste incertain les cheveux noirs de la jeune fille, rasés par endroits. A ce contact pourtant si léger, Ming sursauta, refusant d'être touchée. Shin ne la reconnaissait plus.
Elle semblait à 10 000 lieus d'ici, fixant loin devant elle. Elle ne lui accordait aucun regard.

— Ming?

Le jeune borgne passa et s'accroupie devant elle, cherchant à captiver son regard. Mais elle ne semblait même pas le voir.
Il commençait sérieusement à s'inquiéter.

— Ming? murmura-t-il d'une voix douce et cassée.

Enfin, elle sembla réagir. Elle leva peu à peu les yeux, tombant sur le seul visible du jeune homme. Elle avait l'air de murmurer quelque chose d'incompréhensible, dont les seuls mots reconnaissables étaient les "Shin" qu'elle clama, de plus en plus fort, attrapant le jeune homme par le col en le tiraillant. Elle sembalit... Folle. Gagnée par la folie.
Shin quant à lui, il essayait de la calmer, en lui répétant:

— C'est moi, Ming! je suis là... Je suis là, tout va bien...

Ming, elle, était toujours perdue dans son délire, les yeux écarquillés et embués de larmes. Elle hurlait, sans que ça ne soit vraiment elle qui parle:

— T'avais promis qu'il ne m'arriverait rien! t'avais promis que tu serais toujours là, auprès de moi! T'avais promis! T'avais promis que plus jamais, plus jamais on ne serait séparé! T'avais promis... t'avais... Promis...

Elle s'était calmée. La vérité, c'est qu'elle n'avait plus aucune force, et que continuer de frapper Shin lui était impossible. Elle partait, tout doucement, gagnée par un lourd sommeil. Shin la regarda un instant, dans ses bras. Elle avait raison, il n'était plus digne d'être quoi que ce soit pour elle. Il n'était même plus digne d'une seule once de son amitié.
Il la souleva avec facilité, bien que sa blessure à l'oeil l'ait complètement épuisé.
Zoé avait démarré et elle filait déjà tandis qu'Ewen et Galou se préparaient à décoller. Ils devaient donc utiliser Siéna. Shin se dirigea vers la belle RSQ qui les attendait bien sagement, mais lorsque Shin entreprit d'ouvrir la portière, cette dernière démarra en trombe et fila à fond les mannettes rejoindre sa copine Zoé dans un "NIOOOOOOoooong ". Shin resta là, planté comme un glandu à regarder la silhouette de la voiture disparaïtre au loin, et d'ici on entendait plus que le "Niwik niwik" de la bestiole raisoner comme un ricanement mmécanique débile...
Shin prit enfin conscience de quelque chose d'important....

— On est dans la merde...

Soudain, alors qu'il croyait tout perdu, il entendit une voix à côté de lui:

—Ils sont partis?

Lévi?

— Lévi?

Aucune originalité...

* Ta gueule -_- *

En effet, le petit truc-muche lézard machin truc bizarre était là, a regarder Shin comme s'il avait été la septième merveille du monde.



— Quoi?

— T'as quoi à l'oeil?

— ...

— Ok ok, te vexes pas!

— Qu'est-ce que tu fous là, d'abord?

— Euh, Gaïa... Encore et toujours...

Avisant un quelconque moyen de locomotion, Shin trouva une voiture certainement oubliée dans la précipitation des scientifique. Une vieille Camaro toute pourrie.



Il devait sûrement y avoir les clés. Qui aurait peur de se faire voler cette poubelle? En effet, les clés étaient dessus, mais il restait un problème... Qui allait conduire? Ming dors, toi t'es borgne il ne reste plus que...

— Lévi, tu sais conduire?

— Gnié?